Le professeur Jude Mary Cénat, directeur du laboratoire Vulnérabilité, trauma, résilience et culture (V-TRaC) de l’École de psychologie de l’Université d’Ottawa publie en ligne un guide « clé en main » pour outiller les professionnels de la santé mentale du Canada et dans le monde, à renforcer la résilience des communautés touchées par la pandémie de la COVID-19.
La fermeture des écoles durant la pandémie n’affectera pas l’éducation des enfants autant qu’on pourrait se l’imaginer. Au contraire, cette situation présente une occasion d’apprentissage unique, affirme Joel Westheimer de la Faculté d’éducation.
Le nouveau coronavirus se propageant à un rythme alarmant, il ne faut pas s’étonner que les entreprises du monde entier mettent les bouchées doubles pour développer une solution de dépistage rapide et facile de la COVID-19.
D’un point de vue historique, l’émergence d’une pandémie mondiale comme celle de la COVID-19 n'a rien de surprenant. Revisiter les pandémies antérieures permettrait d’ailleurs d’apporter un véritable éclairage sur la crise actuelle et ses possibles conséquences.
Pour Martine Lagacé, professeure au Département de communication de la Faculté des arts, la pandémie de coronavirus pourrait se révéler être une remarquable occasion de repenser le rapport que nos sociétés entretiennent avec les aînés et de lutter contre l'âgisme.
Compte tenu de l'évolution rapide de la situation avec la pandémie actuelle de COVID-19 et dans nos efforts continus pour la contenir, l’Université doit s’adapter au type de recherche qui peut se poursuivre normalement.
Marceline Côté,une virologue reconnue pour ses travaux sur le virus Ebola reçoit une subvention de 415,000 $ pour contribuer à l’effort national de recherche d’un traitement contre le coronavirus (COVID-19).
Les activités de recherche seront affectées par les récentes mesures mises en œuvre par les différents ordres de gouvernement et les autorités locales. Prenez connaissance des répercussions de cette annonce sur vos activités de recherche.